What a Wonderful World était-il un message d’espoir en temps troublés ?
Interprété par Louis Armstrong, What a Wonderful World est sorti en 1967, en pleine guerre du Vietnam. Ancré dans la profondeur émotionnelle du jazz, ce morceau a été écrit et composé comme un message d’espoir pour les millions de personnes touchées par les ravages du conflit : les innombrables pères, fils et maris perdus, ainsi que les enfants métis arrachés à leurs mères vietnamiennes et envoyés vers des terres étrangères, parmi des visages inconnus.
Les paroles sont-elles naïves, ou sommes-nous ceux qui ignorent leur sens ?
Certains pourraient juger les paroles trop idéalisées, mais que se passerait-il si nous les prenions vraiment à cœur et que nous agissions en conséquence ? Le monde est rempli de merveilles, une planète d’une splendeur naturelle inouïe, mais en prenons-nous réellement soin ? Nous savons que certaines industries et nos modes de vie nuisent à l’environnement, et pourtant, le changement tarde à venir. Le changement climatique, alimenté par le réchauffement climatique, provoque des catastrophes de plus en plus violentes—à tel point que nous ne pouvons plus les qualifier de catastrophes naturelles. Ce sont, sans aucun doute, des conséquences humaines.
Si la plupart des gens aspirent à la paix, pourquoi les conflits persistent-ils ?
L’être humain est-il foncièrement mauvais ? Bien au contraire. La majorité des gens aspirent simplement à une vie paisible, entourés de leurs proches, amis et famille. Pourtant, l’actualité est dominée par des guerres, la montée des nationalismes extrêmes et des divisions grandissantes. Pourquoi ? Parce que certains perdent de vue cette pureté innée que nous possédons tous—cet esprit intact que l’on peut lire dans les yeux des nouveaux-nés, encore préservés de la corruption et des injustices du monde moderne.
Pouvons-nous encore retrouver la clé d’un monde meilleur ?
Y a-t-il de l’espoir ? Bien sûr. La société n’est pas une entité extérieure—elle est composée de nous, les citoyens. Dès l’instant où nous prenons conscience de notre rôle dans sa construction, nous ouvrons la voie vers un avenir meilleur. Chacun de nous détient une clé, reçue à la naissance mais souvent oubliée en chemin. Parfois, elle nous échappe. Mais l’un des plus beaux aspects de la vie, c’est que nous pouvons toujours la retrouver—au moment où nous sommes prêts.
Alors, la question est : Sommes-nous prêts ? Croyez-vous encore en la possibilité d’un monde merveilleux ? Partagez votre avis en commentaire !
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