Dans Spider-Man: Homecoming réalisé par Jon Watts, l’univers cinématographique Marvel poursuit sa tradition d’entrelacer personnages et intrigues, créant des moments inoubliables. Après près de vingt ans de films Marvel, culminant avec Avengers: Endgame, ce premier reboot de Spider-Man met en vedette Tom Holland dans le rôle d’un jeune Peter Parker, avec Tony Stark (Iron Man) jouant le rôle de son mentor. Stark croit au potentiel de Peter et lui prête un costume high-tech qu’il a conçu.
Cependant, l’empressement de Peter à prouver sa valeur le conduit à des ennuis. Dans une scène clé, Tony demande à Peter de rendre le costume, alors que Peter insiste qu’il ne peut pas être Spider-Man sans lui. La réplique de Tony, « Si tu n’es rien sans le costume, alors tu ne devrais pas l’avoir », met en lumière une leçon de vie essentielle : notre identité n’est pas définie par ce que nous possédons, mais par qui nous sommes.
Tony, ayant fait face à ses propres défis, veut que Peter comprenne que faire des erreurs fait partie du processus de grandir, mais il est essentiel d’avoir des conseils pour se relever et devenir meilleur. Faire des erreurs ne sert à rien si nous n’en tirons pas des leçons. À l’inverse, sans erreurs, il y a peu de place pour la croissance.
Cela va au-delà des super-héros et s’applique à nos propres vies. Nous pensons parfois : « Si seulement j’avais plus d’argent, je pourrais être quelqu’un. » Mais ce que nous possédons ne nous définit pas ; ce sont nos valeurs et nos actions qui comptent. Même les meilleures valeurs n’ont pas de sens sans action, et agir sans boussole morale peut entraîner des conséquences désastreuses. Le traitement actuel de l’humanité et de l’environnement par la société nous le rappelle chaque jour. La vraie croissance se produit lorsque nos valeurs et nos actions s’alignent pour améliorer à la fois nous-mêmes et le monde.
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