Les Espers comprirent bientôt qu’une bonne manière de progresser était de le faire aux côtés des autres.
Pourquoi ?
Parce que la rivalité peut stimuler la motivation, créant un cycle positif naturel où plus vous vous améliorez, plus les autres s’améliorent aussi.
Vati et Faya savaient également que parfois la compétition pouvait devenir trop rude, et ils rappelaient alors aux Espers l’exemple d’Eklea et de Gurumin.
La conscience de soi nous aide à garder les pieds sur terre et nous empêche naturellement de vouloir surpasser les autres à tout prix, car un tel état d’esprit peut conduire à des comportements dangereux.
De même, l’empathie nous pousse à souhaiter la réussite des autres.
Au final, notre réussite n’appartient qu’à nous, et nos capacités uniques nous mènent inévitablement sur des chemins différents.
À la Grande Bibliothèque d’Esperia, cet enseignement était transmis non seulement par les Sept Formes, mais aussi par les Espers eux-mêmes.
Ils travaillaient ensemble, quel que soit leur Élément, créant non seulement une dynamique de progrès, mais aussi une compréhension mutuelle plus profonde.
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