Cecil est le personnage principal de Final Fantasy 4, et nous commençons le jeu avec lui en tant que Chevalier Noir, capable d’utiliser des compétences et des attaques en puisant dans la puissance des Ténèbres. Il est un chevalier loyal envers son roi, mais certains événements tragiques, notamment le ravage involontaire d’un petit village sans défense, lui font comprendre que continuer à suivre cette voie aveuglément peut être une erreur. Avec l’aide de ses compagnons, il parvient à changer son être intérieur, devenant finalement un Paladin, une autre classe qui lui permet d’utiliser la puissance de la Lumière au lieu des Ténèbres.
Il n’est jamais trop tard pour commencer à agir différemment
Nous avons tous l’opportunité de changer et de nous racheter de nos actions ou actes passés. Il se peut que nous ne soyons pas pardonnés pour eux, mais notre changement intérieur a du sens. Il est parfois difficile d’admettre que nous avons tort, les humains ayant tendance à penser qu’ils ont raison la plupart du temps, même si on leur dit le contraire. Cela demande des efforts et du courage. Mais il est possible de reprendre la bonne direction si nous nous sommes égarés, même pendant des décennies.
Nous avons peut-être priorisé le travail par rapport à la famille, ou adopté une attitude malsaine plutôt qu’une attitude saine. Nous avons peut-être dépensé de l’argent dans les jeux de hasard ou des addictions. La mort est le seul moment où il sera trop tard pour agir. Pour qu’un changement se produise, nous devons être pleinement conscients de nos erreurs et de nos comportements inappropriés. Nous ne devons pas nous cacher derrière de fausses excuses. Bien sûr, nos expériences passées et notre environnement ont pu nous entraîner sur une mauvaise voie. Mais c’est nous qui agissons.
Conseil personnel
Il m’a fallu des années pour enfin reconnaître que j’avais blessé ma mère en partant vivre au Japon : ma mère a eu un AVC (Accident Vasculaire Cérébral), et bien qu’elle s’en soit remise, elle avait besoin de soutien que je ne lui ai pas apporté. Quand elle est décédée quelques années plus tard, je vivais au Japon, mais sans mener la vie heureuse que j’espérais. J’ai blâmé ma compagnie pour les faibles revenus et les heures supplémentaires, j’ai blâmé mon père ou mon frère de ne pas l’avoir soutenue suffisamment. Mais la vérité, c’est que je me trouvais des excuses : j’aurais dû me blâmer moi-même. Ce que j’ai fini par faire, mais pas à ce moment-là, seulement quelques années plus tard, après une dispute difficile avec ma femme.
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