Un monde meilleur est un film dramatique romantique américain sorti en 2000, réalisé par Mimi Leder et basé sur un roman de Catherine Ryan Hyde. Un ami m’a recommandé ce film, car son histoire partageait certaines similarités avec l’objectif de One Daily Tale : rendre le monde meilleur. Le film suit Trevor, un élève de septième année qui imagine l’idée de “Pay it Forward” dans le cadre d’un devoir donné par son professeur, qui a demandé à sa classe de mettre en œuvre un plan pour améliorer le monde. Le concept repose sur l’idée de faire trois bonnes actions pour d’autres personnes, qui doivent ensuite faire de même pour trois nouvelles personnes. Trevor s’engage de tout cœur à concrétiser cette vision.
La seule personne que l’on peut vraiment changer, c’est soi-même – mais en se transformant, on peut inspirer et impacter les autres : sa famille, ses amis, voire des inconnus. Les actions parlent souvent plus fort que les mots, et bien que faire quelque chose directement soit une belle façon d’aider, l’un des moyens les plus puissants de provoquer un changement reste l’exemplarité. Quand on incarne ce en quoi l’on croit, on crée la possibilité d’une transformation autour de soi.
Et si nous élargissions notre regard et notre aide au-delà de notre cercle intime ?
On peut parfois se sentir “égoïste” en s’occupant uniquement de sa famille, mais prendre soin des siens, c’est aussi prendre soin de soi. En revanche, aider ceux qui sont hors de notre cercle – des inconnus, d’autres cultures, d’autres langues – nous pousse à adopter une perspective plus universelle. Cela devient naturel, presque instinctif, d’aider sans rien attendre en retour, simplement parce que l’on reconnaît la valeur de chaque être humain.
Si nous pouvons changer nous-mêmes, alors les autres le peuvent aussi.
Nous croyons que cultiver de bonnes habitudes pour notre cerveau mène à une véritable conscience de soi, et que cela est accessible à quiconque le souhaite. La neuroplasticité est la capacité naturelle du cerveau à s’adapter, et la développer est un effort personnel. Tout comme nos muscles ne se développent pas sans effort, et que notre alimentation est notre propre choix, le temps que nous décidons d’accorder chaque jour est aussi de notre responsabilité. Quand on comprend que nos gestes ont une influence, surtout sur les plus jeunes, il devient évident que nous avons tous un rôle à jouer, même à petite échelle, dans la construction d’une société plus consciente et bienveillante.
Et vous, croyez-vous que “Un monde meilleur” puisse devenir plus qu’une simple histoire – quelque chose de véritablement applicable à notre quotidien ? Partagez vos réflexions et expériences en commentaire. Discutons de la manière dont des gestes simples peuvent déclencher un changement plus vaste.
#tales-posts-fr
Laisser un commentaire