À la fin de sa vie, que regrettera-t-on de ne pas avoir fait davantage dans notre propre parcours unique ? Pour beaucoup, dans les sociétés modernes des pays les plus riches qui dominent cette planète — et détruisent en grande partie sa nature et notre seul habitat vivant qu’est la Terre — le regret ne portera ni sur l’argent, ni sur le temps passé au travail, ni sur les possessions accumulées au fil des années.
Le regret portera sur le temps consacré à des choses qui n’étaient pas liées aux valeurs qui comptent vraiment : le temps passé avec nos parents avant qu’ils ne disparaissent, avec nos enfants avant qu’ils ne deviennent trop grands pour être portés dans nos bras.
Si le temps s’envole, n’est-ce pas souvent parce que nous le consacrons à des choses qui ne comptent pas tant que cela, mais qui comptent pour une société fondée sur des valeurs qui ne correspondent pas à ce qui est réellement important ? Les pays moins riches vivent souvent de manière plus connectée à la nature et les uns aux autres.
Alors, quelle est la véritable société développée ?










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