Tout comme le cerveau a besoin d’échecs pour grandir, il a aussi besoin de surmonter l’adversité pour apprendre. S’il n’y a pas d’obstacle, pourquoi progresser ?
La subtilité, c’est qu’au fil de l’histoire, ce besoin d’obstacles a parfois pris la forme d’ennemis créés de toutes pièces.
Dans de nombreuses langues, cela a pris le nom de « barbares ».
Dans les temps anciens, la science n’était pas aussi développée qu’aujourd’hui, et les connaissances sur la formation et la diffusion des civilisations à travers le monde l’étaient encore moins.
Cela ne fait que quelques centaines d’années que ce savoir se répand, mais des milliers d’années de peur de l’inconnu ne peuvent pas être effacées en un instant.
Nous portons tous en nous une peur de l’inconnu.
Le progrès ne vient pas de la séparation entre Nous et Eux.
Il vient de la compréhension qu’il n’y a jamais eu de Eux, depuis le début…










Laisser un commentaire